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15 octobre 2010 5 15 /10 /octobre /2010 08:00

 

 

bebes.jpgMon voisinage commence à s'apercevoir que je couve. Au fait, hier ça a fait trois mois ! Et tout va bien !

 

Souvent, depuis que j'ai repris le boulot (je suis RA-VIE), le matin, je croise un voisin qui scotche direct sur mon ventre qui s'arrondit de plus en plus ("C'est le deuxième, ça va plus vite !" qu'on m'a dit).

 

La dernière fois, c'était une voisine, une jeune maman de deux magnifiques petits gars. On a bien discuté grossesse, voiture, re-grossesse, re-voiture... Et conduire enceinte (sans direction assistée...) et patati et patata !

Et on a parlé de la maternité aussi. Je ne fréquente jamais mes voisins et pourtant j'ai essayé, mais là, le courant passe, c'est cool !

 

 

- Et sinon, vous accouchez où ?

 

- A TwinTown si tout va bien.

 

- A la Choupi Clinique ou à l'Hôpital ? Moi, j'ai eu les deux à la Choupi, c'était SU-PER ! Faut voir les locaux, le top du top ! On peut changer les petits dans la chambre, pas besoin d'aller dans la nurserie commune !

(moi j'ai bien aimé donner le bain en compagnie d'autres mamans...)

 

- Bah non, moi je suis suivie à l'Hôpital. Ça se passe bien, ça nous plaît. Notre médecin est vraiment bien. (j'aime mon obstétricien !)

 

- Ouais, ouais, c'est important le médecin, c'est sûr ! Mais c'est vieillot là-bas et puis alors, c'est pas pour dire, mais c'est la faune ! On se croirait dans un camp de réfugiés !

(Oh non...)

 

- Comment ça ?

(pas envie de comprendre, pas envie, pas envie).

 

- Bah, vous avez vu la salle d'attente ? On voit que les examens sont gratuits ! C'est plein de boubous ! Et... parfois, je crois qu'il ya des gitans ou un genre de croate, vous voyez ?

(C'est plein de femmes de toutes les couleurs, qui me tutoient et qui matent mon mari ! J'adore !)

 

- Et alors ? Je vois pas trop le problème.

 

- Ah bon ? Moi, si, de toute façon dans le public, il ne faut pas s'attendre à autre chose. A la Choupi Clinique, on paye le cadre... et le cadre ! Mais je suis pas raciste hein, la preuve, je vous parle ! Mais bon, c'est pas pareil. Vous êtes intégrée ! Mais alors, toute cette faune...

 

- ET ALORS ??? Bon, je vous laisse. Haricot, tu viens ? On y va, Maman a rendez-vous dans la jungle dans une heure.

 

 

Pas envie de faire un discours, pressée d'en finir, nauséeuse tout à coup alors que je n'ai plus de nausées...

 

Depuis, c'est le froid polaire avec cette femme à qui j'ai toujours dit bonjour. Et alors ?

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17 juillet 2010 6 17 /07 /juillet /2010 09:45

 

 

Y'a longtemps que je voulais te parler de ça coupine... Pousser un grand cri de révolte, déchirer mes vêtements, me raser le crâne, m'enchaîner à une grille du four de ministère... GUEULER QUOI !!!!

 

Je te replace le contexte que tu connais déjà parce que bon, toi et moi on est intime, vu que tu m'as vue en petite tenue, puant la Bétadine. Et puis, bon, on s'aime quoi non ?

 

Bref, le contexte tu le connais : je ne pars pas en vacances pour cause de mariage dans deux mois (putain, deux mois, au secours, on sera jamais prêts !!).

Mais, car il y a un mais, j'ai un fils de dix ans, presque aussi grand que moi, plein d'énergie avec un bulletin assez bon (sauf ces putains de résultats qui ont chuté à cause du comportement en fin d'année - je te rassure, j'ai fait payer ce petit célérat à grand coup de regard n°1 super pas contente).

Il fallait bien l'occuper ce sale môme. Et l'occuper comme il faut, parce que les vacances c'est quoi pour un môme :

 

- Bah faudrait qu'on aille quelque part avec la mer ou une piscine ! On ferait des barbecues, trop bien quoi !  Avec du soleil aussi et des vélos bien sûr !

 

Merde, on n'a pas de jardin ! Ni de piscine ! Mais on a une baignoire ! Merde ça marche pas ! Y'a bien la tante de Monsieur Nanou, dans le sud, qui a une piscine... Mais on y était en 2007, et je n'étais pas à l'aise... Et pis, je serai vraiment une garce de squatter chez elle juste pour sa piscine. Une garce profiteuse. Or, je ne suis qu'amour et fraternité...

 

Donc pas de vacances dans le sud, de toute façon, hébergés ou pas, ça nous aurait coûté la modique somme de :

 

2 pleins de gasoil + péage aller-retour + 1 bière (pour lui) et un demi pêche (pour moi) sur l'aire d'autoroute pendant la traditionnelle pause d'une heure = 110 € + 100 € + 8 €(c'est cher la binouze sur l'autoroute)

 

Soit un total de 218 euros: le compte est bon ! Et je te passe la journée à Aigues-Mortes, ville de remparts... mon fils, il kiffe les remparts, va comprendre Charles ! Et la glace à l'italienne renversée sur un tee-shirt au Grau du Roi (vécu authentique, et en plus j'aime pas le Grau du Roi), et la descente du Gardon en canoë...

 

Certes, c'est pas énorme, mais pour notre bourse, notre petite bourse, notre testicule de puceron (avant de décider de se marier, on avait le modèle au-dessus, le testicule de cafard) qui nous sert de porte-monnaie, bah ça fait trop. Ca fait trop pour le moment, on verra l'an prochain...

 

Ca fait trop et ça fait chier. Ça fait chier bordel ! Alors je sais, y'a pire que nous... mais quand je me plains, t'as pas le droit de me répondre ça ! Tu dois dire (ou écrire en commentaire, s'il te plaît coupine) :

 

- Oh Nanette, trop dur pour toi ! Franchement, les gens qui ont inventé la thune sont rien que des cons qui n'ont pas pensé à toi ! Une princesse Sissi (version sépia) qui ne peut quitter son château... quelle tristesse !

 

- Oh merci ma coupine lectrice ! (snif) Il me reste 30 euros pour boire des mojitos, ça te dit ? (snif)

 

 

Alors, j'ai mis mon costard de "ouais je gagne pas des masses, mais bordel, je sais m'amuser moi !" pour trouver à mon Haricot des loisirs familiaux, conviviaux et autres yo, en famille ! 

 

Et bah c'était pas facile, facile... Je t'essplique dès que je peux !  En attendant, mon choupi-fantasme (cf. mes goûts de chiotte), m'a gentiment invitée ! Je peux emmener mes deux hommes tu crois ?

 

 

  dsk_312.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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22 avril 2010 4 22 /04 /avril /2010 08:00

 

 

sms.jpgAujourd'hui je pousse un grand cri ! Y'en a marre de l'écriture textologique ! Y'en a marre des SMS écrits à la va-vite. Y'en a marre de la langue française qui se perd !

 

Hier matin, j'ai reçu un SMS de mon petit frère à moi que j'aime et qui a bientôt 17 ans :

 

"Slt ma seur chéri ! cmt tva ? moi jsui en exam tmtc que c pa facil ! je te tel biento, tu mq. Jtm"

 

Traduction en duplex simultané : "Salut ma soeur chéri ! Comment tu va ? Moi je suis en examen, toi même tu sais (expression des jeun's de maintenant, NDLR) que c'est pas facile ! Je t'appelle bientôt, tu me manques. Je t'aime".

 

Inutile de te dire que tout mon poil du dos s'est hérissé... D'abord parce que mon frérot est plutôt un gamin "j'ai 17 piges et ma grande soeur me fait chier avec ses discours sur comment je dois réussir ma vie pour me barrer au plus vite de chez notre mère". Ensuite, parce que putain, mais comment il écrit ?! J'ai relativisé : mon frérot est né en 93. L'année de son entrée en CP a été l'année de l'avènement d'une super méthode de lecture : la méthode globale. Autrement dit, reconnaître un mot c'est savoir lire. Pas une syllabe, pas un son. Un mot. Adieu la phonétique et l'apprentissage syllabique. Une catastrophe. Aujourd'hui son orthographe laisse à désirer. MSN et les SMS n'y sont pas pour rien non plus.

 

J'ai répondu à son message et je suis allée faire un ptit tour sur facebook... gloups ! Erreur fatale.

 

Un petit condensé des publications sur les "murs" :

 

- Slt, tu devi1 koi ? sa fé tro lontan, t'rapel o collej ?

- Mon bb a 1 an ojourdui, sa pass tro vite mé c la vi

- Alor tu raconte koua depui le tps ? jé vu ke tavé 1 goss, cé tro bien

- Azi sa crain, mon reup me fé trop iech !

- cte gross cone ma suprimé mé je men tape

 

 

Attends coupine, je te vois venir avec tes gros sabots. Tu te dis "quelle coincée du derche la Nanette à cheval sur son homme l'orthographe !".

Non, non, non. Entendons-nous bien : je surkiffe le langage de jeun's (même si des fois je ne comprends pas tout très bien), vu que je suis encore très jeuneune adepte des mots : meuf, kiffer, daron, tricard, binouze, vénère, sa race, ça déchire, ça déboite et autres trucs de ouf (trucs de psychopathe). J'ai grandi dans une cité et je ne l'oublie pas.

 

MAIS, car il y a un mais (même en avril, blablabla, celle-là je vais plus la faire très longtemps). Je ne supporte pas les fautes d'orthographe, de conjugaison, voire de syntaxe, j'y suis ALLERGIQUE ! Quand j'en vois une je mets mon costume de "petite conne qui fait des remarques désobligeantes", genre :

 

- C'est marrant, j'savais pas qu'il y avait une cédille au C de farci ? On m'avait pas prévenue !

- La concordance des temps, c'est en option ?

- Hmmm l'accord du participe passé, c'est loin hein ?

 

Je précise que c'est plus fort que moi. Ca me prend comme une envie de pisser, PAF (le chien). J'assume ce côté "petite conne qui fait chier son monde avec son orthographe à la con".

 

Attention ! Je ne dénigre en aucun cas les personnes qui font des fautes parce que l'orthographe, bon ben, elles ont laissé tomber depuis 30 ans because "je dois élever mes frères et soeurs vu que mes vieux ont claqué". Y'a des gens très bien qui font des fautes à chaque mot (Papounet par exemple, c'est un père qui déchire, mais pas en orthographe), mais il y a aussi de gros feignants qui ne se relisent pas ! C'est pas bien et pis c'est tout.

 

C'est là, maintenant, que je mets mon costume de "vieille conne nostalgique des années 80-90". Parce que bon, y'a pas à dire, notre super génération Club Dorothée (et les précédentes) mettaient vachement l'accent (sur le e) sur l'orthographe et l'apprentissage PAR COEUR des mots invariables auxquels THEORIQUEMENT, tu ne peux ni ne dois pas faire de faute. Merde !

Et l'apprentissage des syllabes des sons (le son gue et le son che, mes préférés !), mais où sont donc passés nos jeunes années ? Bah déjà y'en a une qui s'est fait la malle pas plus tard qu'hier en ce qui me concerne.

 

Je ne me leurre pas. Je sais qu'au prix du SMS, on a envie d'aller droit au but en très très peu de lettres. Soit, j'accepte l'excuse. Je sais que sur Facebook on a autre chose à faire que réfléchir à comment on écrit "conne" (qui est pourtant THE gros mot dont on doit connaitre l'orthographe vu le nombre de connes par kilomètre carré). Mais quand même, sur Facebook, y'a la place et c'est pas payant. Bordel.

 

Bref, inutile de te dire que je suis archi chiante tatillonne sur l'orthographe avec mon Grand Haricot. Notamment (qui est un mot invariable) sur les mots invariables. Je suis une hypocrite de mère qui s'en tape que son gamin ne connaissent pas la table de 8 par coeur (cette garce de table de 8 impossible à mémoriser !), mais qui hurle si elle lit un "tu estbelle" sur une de ses cartes de fête des mères (bouuuuh la vilaine !).

 

Je suis trop contente parce que toi ma coupine, tu ne fais pas de faute non plus et c'est la marque, non seulement de ta culture mais aussi de ton respect.

J'oubliais aussi de te dire que je fais moi aussi des fautes d'inattention, donc ne te relis pas douze fois ce n'est pas la peine. Des fautes d'inattention, des fautes de frappe et aussi des fautes de goût (rapport à mon pyjama bien chaud avec des girafes dessus).

 

Je te laisse, faut que je bosse et que je trouve cinq minutes pour aller faire pipi sans être dérangée.

 

P.S : ces histoires d'orthographe m'ont refait penser à un autre ex. Du coup je suis littéralement morte de rire au bureau. Pour une fois.

 

 

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3 décembre 2009 4 03 /12 /décembre /2009 10:13



Je me suis dit que ça n'existait plus, enfin presque plus, je l'ai vraiment cru à un moment donné. A part chez les vieux, ou chez ceux qui ne sortent jamais le dimanche...qui n'ont jamais vu un noir, ni un arabe, ni un chinois. Et encore, eux, ils ont juste peur de ce qu'ils ne connaissent pas.

J'y ai cru je te jure, lectrice unique.

Bien sûr, j'ai entendu des trucs qui auraient pu me mettre la puce à l'oreille, du style "ils foutent vraiment la merde CEUX-LA" ou encore "ma collègue a pris un jour de congé pour le ramadan, n'importe quoi !".

Mais bon, peut-être que je n'ai pas voulu mettre un mot sur ces remarques, ces paroles en l'air.

Et puis il y a eu un week-end à la campagne, chez des amis, que dis-je, presque un bout de ma famille. Une femme que j'aime comme une mère, une fille que j'aime comme une soeur... Une famille de coeur.

Au départ, c'est une discussion anodine en fin de repas, sur la violence au football, puis on dérive lentement sur les fameux PSG-OM et enfin... sur les matchs perdus de l'équipe d'Algérie. Je m'attendais à un discours mesuré, Nanou étant à moitié algérien par sa maman.

- "Non mais tu sais que les Algériens de G*** ont encore foutu le bordel en ville ! Ils feraient mieux de foutre la merde chez eux franchement ! Attends, je ne suis pas raciste, mais bon, c'est toujours eux, y'en a marre".

Moi : "Ne faites pas l'amalgame, la connerie ou le terrorisme ce n'est pas l'apanage de telle ou telle origine. C'est dangereux comme discours"

- "Mais si c'est GENETIQUE !"
Là, j'ai cru que j'allais vomir, mais vraiment vomir, ou me lever de table et me barrer.

Moi : " Alors si j'adopte un enfant arabe il sera forcément terroriste ? Même s'il est élevé dans un climat sain et sans guérilla autour de lui ?"

- "Evidemment, je connais quelqu'un qui a adopté une vietnamienne et bien elle s'est suicidée à l'adolescence ! Je te le dis il vaut mieux les laisser chez eux, dans leur univers ! On les accueille, on fait tou et voilà comment on n'est remerciés !"

J'ai coupé court. J'étouffais en fait. Tout ça me dégoutait, parce que ça a continué crescendo. Il y a eu les noirs après (bah oui, autant que tout le monde y ai droit !), qui s'habille en boubou, le voile etc...

Alors je demande, posément : "Et moi alors ? Je suis noire aussi, pourquoi je ne fous pas la merde ?"

Et THE réponse très intelligente : "Mais tu n'es pas noire enfin, enfin pas une vraie noire !"

Je te passe la fin de la discussion, ô ma lectrice unique, qui a tourné en eau de boudin.

Je suis écoeurée, écoeurée par ces gens qui crient haut et fort qu'ils ne sont pas racistes mais qui préfèreraient quand même que leur fifille sorte avec un Baptiste plutôt qu'avec un Boubacar.
Bah oui, tu l'as entendu un jour ça non ? "Le petit ami de ma fille s'appelle Amar... mais il n'est pas enfin... c'est un Croate hein, pas un Arabe !"
Je suis écoeurée qu'on puisse penser que la connerie, ou le terrorisme, ou la violence soit GENETIQUE. Ca me fout la gerbe (je suis grossière, mais c'est volontaire). Il y a des connards PARTOUT.
Je suis écoeurée qu'on ne me considère pas telle que je suis parce que je suis antillaise, ou parce que je "parle bien" (je cite "toi c'est pas pareil, t'es intégrée").

Je ne suis pas bête, je sais bien que ça marche dans les deux sens. Que mon père a fait la grimace quelques secondes quand il a vu Nanou et sa peau laiteuse.
Je sais que parfois on entend "sales français" dans les cours d'école. Je sais que parfois moi aussi, je fais certains amalgames, ou alors je me sens mal à l'aise dans certains endroits.
Mon père est métisse et il n'a jamais été ni assez noir, ni assez blanc. Alors je sais, ces sujets sont délicats.

Mais est-ce une raison pour perpétuer cette haine ? Est-ce une raison pour faire de la différence un point négatif ?
Je serais fière que mon enfant viennent d'ici, d'Oran, de Guadeloupe, de Normandie.

C'est un peu révolté comme article, un peu convenu aussi, du genre "nous sommes tous frères". Mais c'est à la hauteur de mon dégout et de ma colère.

En fait ce qui m'effraie le plus, c'est que ce mal me touche d'aussi près. Ce n'est pas la première fois que j'entends ce genre de propos. Parfois dans la famille, auprès d'amis.
Mais ils ne m'intègrent pas dans la case des méchants, parce que je bois du vin, parce que je ne porte pas de voile, parce que je vais à l'église, parce que je fais des blagues de potache, parce que je suis née dans les Hauts de Seine. Et pourtant je n'oublie pas d'où je viens, je prends plaisir à parler créole avec ma famille, à retourner dans l'île où sont nés mes parents. J'aime apprendre à Nanou et à mon fils la culture antillaise, j'aime que ma belle-mère me parle de l'Algérie (un pays magnifique), j'aime aller en Normandie sur les terres de ma belle-famille.

Je ne sais pas quoi penser. Je ne veux pas avoir à tirer un trait sur certaines personnes et pourtant, ça va me rester en travers de la gorge tout ce que j'ai entendu. Ils sont à la limite du racisme, mais ils m'aiment... Y'a comme un malaise non, lectrice unique ?

Allez, lectrice unique, je te laisse, j'ai du taf et puis, l'image parle d'elle-même...

 


P.S : Promis, mon prochain billet parlera de choses plus gaies. Mais là, j'en avais gros sur la patate depuis un bon bout de temps. Et même Nanou n'arrivait pas à supprimer le malaise que je ressentais...

P.S 2 : En fait, pour te dire la vérité, je n'ai jamais cru que ça n'existait plus. J'ai juste cru que ça ne me toucherait jamais d'aussi près.
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